"Une personne souffrant de fibrillation atriale a 5 fois plus de risque d’avoir un AVC qu’une personne bien portante. Le problème de cette pathologie est qu’elle est silencieuse chez 1 personne sur 3, à savoir sans symptôme. Le patient peut participer à son dépistage en prenant son pouls, moyen simple pour déterminer la présence d’un trouble du rythme cardiaque", explique le Dr François Liard.
Interview réalisée dans le cadre de la campagne "La prise de pouls : un geste simple qui peut sauver la vie" lancée par la Fédération Nationale France AVC et la Fondation Cœur et Artères - en partenariat avec Bayer - pour la Journée européenne de l'AVC, samedi 14 mai 2016.
Pour plus d’information, www.avcvitele15.com